Depuis le 1er juin, l'Association pour la Défense des Entrepreneurs du Lavage (ADEL) est devenue une fédération baptisée Association pour le Développement des Entreprises du Lavage avec, à sa tête, Jean-Pierre Biderre, son président. Cette décision fait suite à la tenue de l'assemblée générale le 22 mai. Plusieurs objectifs ont été fixés : chacun des membres du conseil d'administration s'engage à être le porte-parole de l'ADEL en collaboration avec des référents départementaux, afin de coller au mieux au (millefeuille) administratif. Un numéro vert (Allo ADEL), à venir, permettra de faire circuler l'information au sein du réseau. Les membres s'engagent aussi à être le relais de la fédération auprès des pouvoirs publics et du pouvoir politique. Chaque région aura un représentant. Plusieurs groupes de travail ont été mis en place. Pour sa part, Jean-Luc Daversi (Grand Est), du Groupe de travail sujet recyclage, travaillera sur un livre blanc lequel proposera au ministère de la Transition écologique des préconisations adaptées pour économiser la ressource et cela dans le but d'éviter les nouvelles fermetures qui pourraient être imposées en cas de crise hydrique aggravée. « M Daversi souhaite être en mesure de présenter au ministère de la Transition écologique pour fin juin ce recueil, pour l'obtention d'un agrément pour l'intérêt général de la filière, accompagné d'engagements forts de nos adhérents qui auront consenti à ces investissements avec en contreparties, des assurances du Ministère au plan de l'accompagnement financier et des garanties indispensables pour la sauvegarde des exploitations » explique le communiqué.
Depuis le 1er juin, l'Association pour la Défense des Entrepreneurs du Lavage (ADEL) est devenue une fédération baptisée Association pour le Développement des Entreprises du Lavage avec, à sa tête, Jean-Pierre Biderre, son président. Cette décision fait suite à la tenue de l'assemblée générale le 22 mai. Plusieurs objectifs ont été fixés : chacun des membres du conseil d'administration s'engage à être le porte-parole de l'ADEL en collaboration avec des référents départementaux, afin de coller au mieux au (millefeuille) administratif. Un numéro vert (Allo ADEL), à venir, permettra de faire circuler l'information au sein du réseau. Les membres s'engagent aussi à être le relais de la fédération auprès des pouvoirs publics et du pouvoir politique. Chaque région aura un représentant. Plusieurs groupes de travail ont été mis en place. Pour sa part, Jean-Luc Daversi (Grand Est), du Groupe de travail sujet recyclage, travaillera sur un livre blanc lequel proposera au ministère de la Transition écologique des préconisations adaptées pour économiser la ressource et cela dans le but d'éviter les nouvelles fermetures qui pourraient être imposées en cas de crise hydrique aggravée. « M Daversi souhaite être en mesure de présenter au ministère de la Transition écologique pour fin juin ce recueil, pour l'obtention d'un agrément pour l'intérêt général de la filière, accompagné d'engagements forts de nos adhérents qui auront consenti à ces investissements avec en contreparties, des assurances du Ministère au plan de l'accompagnement financier et des garanties indispensables pour la sauvegarde des exploitations » explique le communiqué.
